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H. BARON
Music and JBooks
136 CHATSWORTH ROAD,
LONDOM, N.W.2., ENGLAND
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" LA GLANEUSE" (i« Acte)
GRAND-THEATRE DE LYON. — "LA GLANEUSE", pièce lyrique en trois actes, de MM. A. Bernède el
Paul de Choudens, musique de M.JFélix Fourdrain.
" LA GLANEUSE " (2« Acte)
La Glaneuse
Pièce Lyrique en trois Actes
Poème de
ArthurBERNÈDE et Paul de CHOUDENS
Musique de
Félix Fourdrain
Partition Chant et Piano
Paris, CHOUDENS, Editeur,
30, Boulevard des Capucines, 30.
TÔL'âûnciisd'exëeûtwnpub/iûue.ûerenroi/ucùoûeid'ârwwEmenlsrésvw^
y comûris ,dSt/èdô,/â/i/û/'yège et/eûâflemâpà.
U.S. A. Copyright by Choudens.190.S.
Impfl.fliiwt, fsm.
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M. Félix FOUR DRAIN
Le jeune compositeur dont le théâtre de Lyon
vient de représenter la Glaneuse est né à Paris
en 1880. Il fit ses études au Conservatoire où
il eut comme maîtres Massenet et Widor pour
la composition, Alex. Guilmant pour l'orgue.
C'est dans la classe de ce dernier qu'il obtint
un Ier prix en 1902.
L'abondance de ses idées le dirigea de bonne
heure vers la composition et, au lieu de débuter,
comme la plupart des jeunes gens par une demi-
douzaine de mélodies, il forma son style en
écrivant une Messe qui fut exécutée en 1897
par un orchestre de 80 musiciens. Il avait alors
17 ans.
Ses autres œuvres sont : deux Suites d'or-
chestre, un trio, des pièces pour flûte et piano
et, pour le théâtre, La Légende au Point d'Ar-
gentan, qui obtint un vif succès à l' Opéra-Co-
mique en 1907 et fut ensuite, représenté à
Reims, Grenoble, Avignon, Rennes, Le Caire et
Nantes.
Dans la Glaneuse dont nous rendons compte
d'autre part, M. Fourdrain a affirmé ses qua-
lités de musicien de théâtre, selon les traditions
des maîtres français.
Actuellement, M. Fourdrain prépare un ou-
vrage en 5 actes, La Forge sur un poème de
MM. A. Bernède et de P. Choudens.
Il est peu de compositeurs qui, à 28 ans
se soit fait une place aussi importante dans la
musique dramatique.
G. B.
Intérim. lement commerciales, et par conséquent peu iavo
nous trouvons le leit motif principal de la parti-
tion :
Il circulera dans tout l'ouvrage ; au cours de
l'orage (en la mineur avec le fa #) puis en mineur
dans un autre rythme sous la forme suivante :
Après ce thème, signalons celui, très expressif,
entendu dès le premier duo d'amour.
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La Glaneuse
Grand Théâtre de Lyon : La Glaneuse, pièce
lvrique en 3 actes de MM. de Choudens et Arthur
Bernède, musique de M. Félix Fourdrain.
La Glaneuse est une pièce tour à tour dramatique
et pastorale, amoureuse et mystique. En voici le
sujet, dont l'analogie avec celui de Sanga s'explique
par le fait que M. de Choudens collabora aux livrets
de ces deux ouvrages.
L'action se passe dans les Vosges. Pierre, fils du
riche fermier Didier, est fiancé à Suzel, fille de
Muller. Leur mariage doit être célébré après la
moisson. Mais voici qu'un ouragan dû, dit-on, au
mauvais sort jeté par « la Glaneuse » ravage la
récolte de Muller. Cette « Glaneuse » nouvellement
revenue au pays n'est autre que la mère de Pierre,
et si elle quitta Didier, c'est qu'elle fut autrefois
chassée par lui pour l'avoir trompé.
Le second acte se passe en divertissements et
ballets, puis se termine par une querelle entre Muller
et Didier, qui ne veut plus donner son fils à Suzel,
dont la dot a été engloutie dans l'ouragan.
Au dernier acte on assiste à un pèlerinage de
jeunes filles, suivi d'une scène expressive daus
laquelle la Glaneuse ne peut s'empêcher de révéler
à Pierre qu'elle est sa mère. Sur ces entrefaites arrive
Didier. La Glaneuse le supplie de donner son fils
pour époux à celle qu'il aime. Elle promet de s'en
aller pour toujours si sa prière est exaucée. Mais la
procession repasse et la voix de Suzel se détache :
« Seigneur, exaucez-nous et daignez envoyer au
cœur de son père, la grâce et le pardon et qu'il prenne
pitié de notre amour ! »
Ces derniers mots ont désarmé Didier et, dans un
bel élan, : « Reste, dit-il à sa femme, j'ai par-
donné. »
Le compositeur : M. Félix Fourdrain, n'est pas un
inconnu. On se rappelle encore le grand succès
qui accueillit son ouvrage : La Légende du Point
d' Argentan, joué à l' Opéra-Comique en 1907,
Élève pour la composition de MM. Massenet et
Widor, M. Fourdrain a hérité de ces Maîtres le don,
si rare aujourd'hui, des idées mélodiques, avec l'art
de les développer et la science de l'orchestration.
Après le thème de la Glaneuse, qui symbolise
le désespoir,
fin ^.jiUjij^iflT'iririM
Puis, au deuxième acte, au cours de la scène de
rupture entre Didier et Muller.
Au premier acte nous aurions encore pu citer la
phrase très tendre de Muller à sa fille :
« Comme un rayon de soleil clair,
« Qui frappe à la vitre vibrante...,
Le prélude du deuxième acte est une page orches-
trale calme, qui repose des clameurs précédentes
accompagnant l'ouragan. Nous y retrouvons le
premier leit motif en mi mineur (avec le sol #) et
le thème d'amour, qui alternent avec une pensée
nouvelle, le tout finissant dans une grande sérénité.
Les airs de ballet de cet acte ont un caractère
vosgien et alsacien très marqué. La Ballade, d'un
caractère archaïque, écrite dans le premier mode du
plain chant, est bien venue.
Du dernier acte, il faut mentionner le thème si
pathétique de Pierre retrouvant sa mère :
et le duo de Didier et la Glaneuse.
Nous avons dit que la note mystique était mêlée
à ce drame. Elle est représentée d'abord par les
chants du Miserere et la psalmodie de l'Ave Maria
pendant l'orage, puis au dernier acte, où les chants
du Magnificat et de l'Ave Maria accompagnent le
pèlerinage.
Accueilli par un grand succès, l'ouvrage a été
monté avec un soin dont il faut féliciter MM. Flon
et Landouzy. Louons tout d'abord M. Flon, qui
est un excellent chef, et son orchestre, qui a été
parfait.
Le soprano dramatique : Mme Claessens, donne
au rôle de la Glaneuse toute l'émotion désirable et
Mlle Sabrou est une charmante Suzel. M. Auber
(Didier) est tragique et M. Cotreuil (Muller) a un bon
jeu scénique. M. Allemans a réglé la mise en scène
d'une façon très intéressante.
Nous attendons maintenant avec confiance
M. Fourdrain dans un ouvrage en 5 actes : La Forge,
en préparation avec les mêmes collaborateurs.
Henry EymiEU.
CALAIS
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GrancL-Thcâtre. — Nous venons d'avoir
une très belle reprise de La GlaneuscJYœuvr&
du regrette compositeur Fourdrain.
Selon la volonté exprimée par le défunt,
quelque temps avant sa mort, à M. Paul
Douai, directeur du Grand-Théâtre, c'est
yime Nina Ratti, la créatrice du rôle, qui
incarna La Glaneuse.
E le le joua en comédienne „ accomplie,
possédant un jeu de. scène véritablement
émouvant et sincère et chanta son rôle avec
le talent le plus sûr.
Elle était entourée par Mme Madeleine
Beyre, toujours gracieuse fit charmante dans
Suzel, M. Paul Sterlin', un Pierre bon chan-
teur et comédien très simple d'allures, M.
Arschodt, un Didier dur et autoritaire, M.
Coussart qui fit valoir d'appréciables pro-
grès.
Les autres rôles et les figurations ainsi
que les cheeurs ont droit à des éloges ainsi
que M. Alloo et son orchestre, pour la con-
duite et l'exécution, si coloriée, si exprès-
sive et si mélodieuse de cet ouvrage.
M. Masson brossa pour la premier acte
une toile de fond représentant des champs
de blé aux épis d'or d'un réalisme parfait.
Cinq levers de rideau et l'insistance du
public à saluer l'auteur furent pour M.
Moisson la consécration d'un talent qui fit
de cet artiste le triomphateur de cette belle
, soirée. — L. F.
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LA GLANEUSE
PIÈCE LYRIQUE EN TROIS ACTES
Représentée pour la première fois sur la scène du Grand-Théâtre 3e £?on
en Février 1909.
Direction de MM. FLON et LANDOUZY
Chef d'Orchestre : M. PH. FLON
DISTRIBUTION:
Pierre Ténor Mrs GEYRE
Didier Baryton AUBERT
Muller Basse chantante COTREUIL
La Glaneuse Soprano dramatique ou Mezzo Mme M. CLAESSENS
Suzel Soprano MUe SABRAN
Leclerc (2™ Ténor J M. MALLET. — Tarlet (Baryton ou Ténor ) M. GARASSU.
Robin (Baryton ou Basse) M. VAN-LAER. — Un Marchand de Bonneterie (Ténor) M. ÉCHENNE.
Le Boulanger, Un Montreur de Marionnettes (Ténor) M. CERVELLI
La Mère Catherine (Mezzo) Mme RAMBERT.
La Mère François (Mezzo) Mme GERVAL-
Marthe (Soprano) MUe ROLLAN. — Louise (Soprano) Mlle DEL'HOMME.
Berthe (Soprano) MUe TALBERG. — Pauline (Soprano) MUe OLDY.
Commère*. Paysans, Bûcherons, Tireurs à l'arc, Enfants, Procession, Vosgiens et Vosgiennes.
L'action se passe de nos jours en pleines Vosges.
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Mise ea scène de M. F. ALMANZ. Décors de M. M. BESQUET
Divertissement réglé par M. SOYER de TONDEUR.
Chefs des Chœurs : Chefs du Chant :
.MM. PIRON et JOURDEY MM. GINIÈS et PAUL FLON
A. C. 13.871-
INDEX
ACTE I. — La Ferme de Muller.
Pages
Scène i. « Mon fils aime ta fille » Didier et Muller 2
— il. « Suzel et Pierre, tous deux s'aiment » . . . Muller 13
— m. « Père.../ » Suzel et Muller 14
— IV. « Pour plaire à mon ami » Suzel 21
— v. « Bonjour Suzel » Marthe, Louise, Berthe, Pauline, la mère Cathe-
rine, la mère François et d'autres commères . . 25
— vi. « Ah ! méchantes commères » Pierre et les mêmes 40
— vu. « Ne pleure plus » Pierre et Suzel 45
— vin. * Pauvre chère maman » Suzel 56
— ix. « Ici Von sera peut-être » La Glaneuse et Suzel 57
— x. « Allons, vous autres >•• Muller, Tarlet.Leclerc, Robin et d'autres paysans 78
— xi. « Oui, c'est cela, file ! •» Les mêmes, moins la Glaneuse 92
— xii. « Peut-on se mettre à fabri » Pauline, la mère François, femmes et paysans . 100
ACTE IL — La Place du Village.
Prélude 120
Scène i. « Horiala, Horiala » Les Bûcherons 125
— il « Gai, gai, c'est jour de fête* Tireurs à l'arc 133
— ni. « Gais enfants de Varneville » Vosgiens et Vosgiennes 138
— iv. « Eh! les belles » Marchands de Bonneterie et les mêmes . . . 143
— v. Divertissement 150
A. Danse a deux 158
B. Ensemble 160
C. Final, Danses et Chants 164
— vi. « Deux sous de pain » La Glaneuse, le Boulanger 181
— vu. « Bonjour , ?nes chers petits » Un groupe déjeunes gens, puis les enf. et la Glan. 186
— vin. « Quelle est cette femme » Su/x!, Pierre, la Glaneuse 198
— IX. « La pauvre femme t> Pierre et Suzel - . 208
— x. « Pauvres enfants » Muller seul 212
— xi. « Eh bien, Muller » Muller et Didier 215
— xii. « Père, qu'y a-t-il ? » Pierre, Suzel et les mêmes 225
— xni. « Ou a-t-il dit » Pierre et Didier 229
— xiv. « Une histoire » La Glaneuse, les Enfants, le Montreur de Ma-
rionnettes et Pierre 240
— xv. * Regardez cette feynme » La Mère François, Berthe, Louise, Tarlet, Le-
clerc, Paysans et Commères , . 246
— xvi. « Le premier qui touche à cette femme » . . Pierre, la Glaneuse et les mêmes 251
ACTE III. — Eu pleine Montagne.
Prélude 255
Scène i. Appel des Bergers dans la coulisse, puis la Procession et la Glaneuse 257
— il. « Cest la Pèlerinage » La Glaneuse seule 270
— ni. « Quoi ! vous partez déjà » Pierre et la Glaneuse 277
— rv. « Pierre, qu'est-ce donc? * Les mêmes et Didier 294
— v. « Vous savez bien •» Didier et la Glaneuse 296
— vi. « Miserere Nostri » La Procession, Suzel 308
— vu. « Reste, j'ai pardonné » Didier, Pierre, la Glaneuse, Suzel et les mêmes 312
A. C. 13.871.
LA GLANEUSE
PIÈCE LYRIQUE EN 3 ACTES
Poème de
Arthur Bernède
»t Paul h* Choudens
Musique de
FÉLIX FOURDRAIN
ACTE I
La Ferme de Millier
Au fond une grande baie, laissant apercevoir un vaste champ de blé qui mûrit sur le versant de la montagne.
(La scène se passe de nos jours en pleines Vosges)
PRÉLUDE
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Les doubles croches très accentuées
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Tous droits d édition, d'eierutioo puMiijue, de Induction.
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SCENE III
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SCENE IV
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MARTHE et BERTI1E avec les 2e sOP.n
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LA MÈRE CATHERINE et LA MÈRE FRANÇOIS avec les CONTK.
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me _ res, qui fai _ tes pleurer cette en _ fant ! Allez-vous
Moins vite J«=76
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dernières lui hdress0n1 des adieux ironique.
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Pau_\r*' pe
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An re . v<»ir!.
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r'r et if Groupes
(Elles sortent)
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SCENE VII Pierre les écoute s'éloigner, puis revient près
de Suzel.quil contemple doucement.
I443I Même môuv^ la é- comme la #• précédente
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(Suzel écoute avec une joie visible)
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SCENE VIII
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laquelle il y n un porl r.nl . !
Un peu plus lent J=7'2
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SCENE IX
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L;i Glaneuse paraît Elle inarche pcniblementen sappirjtant sur un bâton... Sur les épaules un fichu..,.
. . . I r n Sur la tête une vieille capeline
Leiit, tnste et pesante è~ oU
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liiueude pain un coin pour abri Jter ma 15 _ te... Je n'en puis
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re_po_sez vous un peu.
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(sursautant) vraiment poignant*)
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(léger m r une grandi fraîcheur)
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temps, les- regarde avec ui\e tristesse visible)
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Pierre s'adressant à Didier
SCENE XII
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ACTE III
En pleine Montagne
A droite, lu maison rustique de Didier, toute construite en sapins ... Adossé à la maison, un petit
kangard praticable
Au fond,., vers te milieu, un bois de sapins, oit se perd un sentier rocailleux^ qui traverse la se me de
droite a i/auche, en remontant vers le fond, où, sous ■ le ciel bleu, se détache nettement une
vieille chapelle.
Lentement #=56 avec un sentiment de grande sérénités
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SCENE IV DIDIER, LA GLANEUSE
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^— t-tY^TH I f ^ 1 1 ■ — ■■ * h N ^
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un calvaire Iras dissimulé par les *;i|>in- sur la gauche
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Pierre accourt rayonnant
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LA GLANEUSE *
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l'une cuurl ver* Suivi
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